« C'est quoi ça maman ? Le truc qui brille dans le ciel ? » « Le truc qui brille dans le ciel, comme tu dis, est une étoile ma chérie. » « Je pourrais être une étoile un jour ? » La nuit était tombée depuis peu sur la belle ville de Paris, la capitale de la France, assises sur l'herbe, une mère et sa cadette regardaient le ciel. Astoria, s'était son nom, elle était aussi blonde que sa mère et ses yeux étaient bleu-gris bien qu'ils viraient souvent au turquoise. La petite blonde avait un sourire aux lèvres, s'était l'un des rare moments que la mère et la fille pouvaient passer ensemble. En effet, Astoria à une grande-soeur plus âgée qu'elle de quelques années, Melanie, elle a aussi un grand-frère, Harry, avec qui elle est très proche. La belle blonde est la fille cadette de deux militaire, sa mère est américaine et son père français, la blonde est donc d'origine américaine bien qu'elle soit née en France. Astoria est née un beau jour d'été : le vingt-deux juillet, soit quelques jours après l'anniversaire de l'une de ses cousines prénommée Isabelle, l'une des seules personnes de sa famille avec qui la blonde s'entend bien. Astoria n'a jamais été très proche de sa famille, d'une part, car ses parents ont toujours dit à leur fille cadette quoi faire, chose que cette dernière déteste, et d'autre part parce qu'elle n'a pas du tout la même vision des choses qu'eux. La demoiselle n'a jamais été vraiment proche de sa soeur non plus enfin, elle en était proche quand elle était encore une enfant.

« Melanie, tu viens avec moi jouer dehors ? » « Non Astoria, je travaille là. » « Mais aller, s'il te plait ma grande-soeur chérie que j'aime de tout mon coeur et que je vénère plus que tout au monde. » « Bon, d'accord, mais arrête de dire ça je sais que tu ne le penses même pas. » La dite Astoria était âgée de seulement cinq ans à l'époque et aimait déjà embêter les autres au moment où ils faisaient quelques choses, que ce soit important ou non. La petite blondinette était alors suivi par sa grande soeur, Melanie, qui était en train d'avoir un fou rire, comme sa cadette d'ailleurs. Enfant, elles passaient tous leurs temps libre ensemble, elles étaient très proches, plus qu'aujourd'hui en tout cas. En grandissent, Tori ressemblait de plus en plus à sa mère, les mêmes cheveux ainsi que le même visage mais, pas le même caractère, ça c'est sûr ! Depuis son plus jeune âge, Tori à toujours cacher ses sentiments, elle faisait toujours partie de ceux qui étaient martyrisés les autres enfants à l'école, celle qui rendait ses devoirs en avance en bref, on ne pouvait pas sire que la belle blonde était un enfant rebelle comme sa grande soeur. Et oui, cette dernière est la seule de la famille à avoir un fort caractère avec son père, ce qui fait qu'ils se disputaient assez souvent et, comme à chaque fois, c'est Mélanie qui avait le dernier mot, chose que sa mère commençait à agacé sérieusement et aussi le reste de la famille.

« Coucou mon grand-frère chéri que j'aime de tout mon coeur, comme tu vas bien ? » « D'accord, donne-moi ta feuille que je puisse la signer. » « Une feuille ? Quoi mais de quelle feuille tu parles ? ... Bon, tu ne le dis pas aux parents s'il te plait. » « Oui, ne t'inquiète pas, vu le nombre de fois où j'ai signés tes notes à leurs places. » Une nouvelle fois, la cadette de la famille Whitmore venait d'avoir une mauvaise note en mathématiques, un deux sur vingt, plus précisément. Mais bon, la famille et surtout les parents de la demoiselle avaient finis par laisser tomber les punitions, bas oui, même si la blonde est punie ou privé de quelque chose, elle ne va pas pour autant travailler en cours de mathématiques, ou le cours qu'elle déteste le plus au monde parce qu'elle n'y comprend rien. C'est aussi dans ces cas-là que l'on voit bien que Astoria et sa grande-soeur sont totalement différentes : Melanie avait l'habitude d'être dans les cinq derniers élèves de la classe, toujours de très mauvaises notes et aussi la plus rebelle et désobéissante de la famille ; Astoria, toujours dans les cinq premiers de la classe, toujours de bonnes notes et aussi la plus fragile et responsable de la famille. En gros, la jeune adolescente ressemble plus à son grand-frère, Harry, avec qui elle a toujours été extrêmement proche. « Ah, au fait, j'ai un truc à te dire, Tori. » « Heu ... Tu commences à me faire peur, mais je t'écoute. » « Je vais m'engager dans l'armée, comme papa. » « Heu ... Okey. Mais, tu l'as dit à maman et papa. » « Non, justement, je vais le leur dire ce soir. » « D'accord. Merci pour ta signature, on se voit plus tard. » « De rien princesse. Ouais, à tout à l'heure. » En sortant de la chambre de son grand-frère, Astoria avait les larmes aux yeux. Ce n'était pas le fait que son frère veuille s'engager dans l'armé, non, cela elle s'en foutait totalement, elle avait seulement peur que son frère part en mission et de ne plus jamais le revoir, comme son père, quelques mois plus tôt ... u.c